Invasion démoniaque

Karzgania, cité de la terreur, et ville emblématique du triomphe d'Eleuthérios sur les terribles démons qui habitaient autrefois ces terres. Alors que la ville n'était plus que le fantôme de ce qu'elle fut par le passé, ravagée par un terrible incendie, elle restait toujours un symbole de la force militaire du royaume des Parias. Mais aujourd'hui cette ville était menacée par l'arrivé d'une flotte de démons qui prétendaient la souverraineté de ce royaume. Les forces militaire gardienne du royaume étaient rassemblées sur le port, et dans les ruines de la cité bien décidées a repousser ses horribles créatures. Horrible ? Il n'était rien de le dire. Ces monstres infames, utilisait, les protubérence osseuses,qui leur sortait des articulation pour pourfendre leur adversaires. Des centaines de bateaux de guerre approchaient, prêt a libérer des hordes de démons enragés.En rangs sérrés, et dans un silence disciplinaires, les Parias du Prince de la destructions, attendaient courageusement, les bannières flottantes dans le vent de la victoire, le moment ou aurait lieu l'affront.

Un énorme bloc de guerrier, se tenait debout, les lances vers l'avant, chacun protégeant son frère avec son bouclier. Sur les quelques murs encores debout de la ville en ruine, des archers attendaient l'ordre de faire feu. Mais le plus impressionnant dans tout cela était sans doute, le noir presque trop brillant des armures des chevaucheurs de Skrin. Les Skrins, étaient de gros Lezard, aux écailles resistantes a la force de l'impact d'une lame, et dont les dents pointues pouvaient mettre en charpie un cheval en entier. Se tenant sur leur montures, les cavaliers étaient mené par un homme qui semblait imposer un profond respect, et un grand courage a tout ceux qui était a côté de lui. Cette heaume portait un heaum étrange, avec des cornes. Ses yeux était d'un vert brillant de carnage. Il se tenait droit sur son Skrin, la main gauche tenant fermement les rennes de la bête. Dans son autre main une épée forgé sur mesure trouvait sa place au milieu de ce spectacle de brillance et de noirceur. A ses côté d'autres homme a l'allure tout aussi guerrière se tenaient, et semblaient attendre ses instructions.

Les navires approchèrent et bientot les premiers atteignirent les berges et les embarcadères du port. L'homme qui semblait mener cette troupes regarda l'homme a sa gauche. Il se pencha vers lui et lui dit d'une voix noire et grave.

Toi et tes hommes, vous reculerez vers les ruines. Nous couperons leurs lignes et tu n'auras plus qu'a les achever.

Il se pencha vers l'autre.

Quand a toi, tu rongeras leur flancs, et tu te feras un passages vers les quai. Tu empècheras les renfort de venir me tourmenter. Si tu échoues, nous sommes tous mort, alors n'échoues pas !

Oui ! monseigneur !

Aussi tôt les deux hommes se mirent en route vers leur groupes respectifs. Le combat allait être rude. Le leader emblématique de cette armée, leva alors son épée vers le ciel. Les premiers démons mirent le pied au sol. Beaucoup de bateax étaient resté éloigné, attendant de voir la situation. La lame de l'homme descendit rapidement pointant en direction des démons. Une pluie de flèches, dont le sifflement déchira le ciel oranger, alla s'abbatre sur ceux qui avaient traversé la mer de Narug. Puis des hommes se mirent en mouvement, engageant les ennemis, et avec des techniques de combats exemplaires, ils firent des miracles. Aucun d'entre eux n'avait peur. Chacun se battait pour défendre sa terre. L'homme au yeux vert se tourna vers un homme a ses côtés.

Sonne la charge soldat !

L'homme se mit a souffler dans un cor. Les Skrin se mirent a emettre des bruits effrayants. Un homme sortit des rangs et s'avanca a la hauteur du chef de groupe

Slorak ! Ne crois tu pas qu'il est prématurer de charger maintenant ?

Remettrais tu l'un de mes ordres en question, Argawen ?

Il marqua une courte pause puis tourna son dos au champ de bataille, fixan l'homme qui lui avait adressé la parole.

N'oublis pas que tu as prétté serment d'allegence a l'Empereur noir, et qu'étant son représentant, je suis dans l'oblogation de te rapeller que discuter un ordre, est passible de la potence. Alors enfileton heaume et prépare ton groupe a la charge.

Le jeune garcon ravala sa salive et s'executa. L'autre homme dont le prénom semblait être Slorak s'avanca un peu plus vers la bataille. Il lanca un dernier regard. Les démons avancaient rapidement sur les flanc des hommes, qui pouvait tenir, mais étaient obligés de reculer. Il fallait retenir l'avancer des démons. Froncant encore une fois les sourcils comme a son habitude, il fixa le ciel. Dans les nuages, une ombre se dessina.Une wywern passait au dessus du champ de bataille. Slorak ne put se retenir de ricaner

Les Dieux sont avec nous mes frères. Archanor a laisser ses ailes passer au dessus du combat. C'est un signe de bon augure. Toutes les âmes qui quitterons leur corps en ce jour auront une place au côté d'Archanor ! Les autres eux, auront toute ma gratitude. Soldats ! Vous êtes les chevauchers de Skrin. Vous êtes l'élite de notre armée. Montrez a ses chiens de démons ce que vaut votre entrainement.

Sa montures bavait, tellement l'exitation de tuer était forte.

Maitre destructeur Argawen, Vous menerez la seconde vague. Attendez que nous ouvrions une brèche dans leurs lignes

Puis la créature de Slorak s'élanca suivit immédiatement par la moitié des autres créatures. LE sol tremblait sous le pas et leur arrivé sur les lignes ennemis quelque secondes plus tard désorganisa les rang des démon. Slorak frappa successivement a sa droite puis sa gauche, couchant a chaque coup de lame une des créature démoniaque. La masse sombre de cavalierx infernaux travers les rangs des démons de gauche a droite, avant de sortir de la mélé. Les hommes retirèrent du combat et reformèrent les rangs un peu plus loin. Slorak prit la paroles.

Rapport !

Un homme qui semblait être un gradé sortit alors des rangs. Il s'avanca a la hauteur de Slorak et sans le regardant, en fixat le champ de bataille tout comme lui, il lui lanca

Deux des notres sont tombés monseigneur !

Archanor, les bénissent !

Il se retourna alors face a ses hommes et son interlocuteur réintégra les rangs.

Vous avez tous observés leur technique de défense. Ils visent nos dos. Adoptez une attitudes de veille. Chacun attaque devant lui. Utilisz vos boucliers pour vous protéger sur les flancs. Nous allons retraverser. En position de fer de lance, nous allons diviser la ligne pour qu'Argawen puissent s'enfoncer dans le second bloc.

Il regarda sa cuisse. Un filet de sang coulait. L'adrénaline atténuait la douleur. tant mieux, car le combat serait long.

En avant !

le hommes chargèrent alors en fer de lance. Leur assault déclencha alors la charge de l'autre moitié des cavaliers. L'impact dans les rang fut violent; Après une traverser rapide, les deux groupes se croisèrent. LEs regards de Slorak et d'Argawen se croisèrent aussi. Un sourrie naissait sous son heaume. ce petit allait faire des merveilles...Comme a son habitude...

Le sermont de Slorak me fit avaler ma salive et retourner à mon poste. Valait mieux pour moi de ne pas entrer en conflit avec mon propre camp et encore moins avec Slorak. Surtout pas lui. J'enfilais mon heaume et préparais mon épée, ma tendre Naïra à la lame argentée et noire qui, comme à chaque fois faisait des merveilles. Puisse-t-elle me protéger encore une fois.
Les Parias chargèrent sous l'ordre de notre chef, et comme tout soldats, je m'élançais avec eux, hurlant un cri de terreur qui fit monter l'adrénaline. Une sombre lame s'abatit sur moi. J'esquivais avec agilité avant de frapper à mon tour au niveau de la gorge et tranchais la gorge de mon ennemi. Le sang noir gicla sur mon heaume et sans plus attendre, je poursuivis mon entrée fracassante dans les lignes adverses en faisant danser mon épée, esquivant coup sur coup et rugissant de plaisir lorsque leurs corps se vidaient de leur sang. Je ne pris garde à un coup qui me vint de la droite et me frappa sur le haut du heaume. Mes jambes se plièrent légèrement sous le choc et je retirais mon casque difficilement; sur le côté droit vers le haut, il était fissuré. Je la jettais loin de moi, préférant me battre et croiser le regard de mes ennemis. Je voulais qu'ils voient mes yeux devenus rouge de haine et de frénésie les tuer. J'aimais cela provoquant chez moi une puissante montée d'adrénaline. Mon nom rétentit; un de mes hommes m'avertissait qu'une attaque fondait sur moi dans mon dos. Juste à temps, je me retournais, frappant mon attaquant à la jambe gauche, ce qui le fit flancher pour me permettre de l'achever en le décapitant. Je levais la tête, sentant un regard posé sur moi et vit, non loin, Slorak toujours aussi impressionnant me fixer. Nos regards se croisèrent rapidement, et chacun retourna à son occupation, aussi morbide soit elle mais en même temps, tellement excitante.

La bataille fut rapide et peu de nos hommes tombèrent sous le coup des armes adverses. Alors que le reste des ennemis se repliait, surement pour mieux nous attaquer par la suite, j'observais le sol et l'embouchure de la mer de Narug orangée, mais cette fois, encore plus rouge dû au sang de la bataille. Des corps jonchaient de part et d'autre et il fallait faire attention à ne pas trébucher. Des wywerns, attirées par l'odeur âcre du sang, vinrent festoyer et s'occuper du nettoyage du sol, jouissant des cadavres. Je me dirigeait vers nos lignes, enjambant chaque corps. Plus loin je vis Slorak discuter avec des parias, sans doute sur la suite des événements, pendant que son skrin s'autorisait un déjeuner improvisé avec les premiers corps. Voilà pourquoi, nous ne nettoyons jamais nos champs de bataille. Je me retournais et vis assez loin les lignes ennemis. Je ne pus m'empêcher de penser à leur tête face à cette vision d'horreur où des créatures s'oocupaient de leurs morts. Cela me fit sourire.
Je poursuivis mon chemin. Du sang noir collait sur mon armure alors qu'une plaie sur mon front du côté gauche saignait lentement, créant une trainée de sang le long de ma tempe et de ma joue. Peu importe, je n'avais pas mal et songeait déjà à la porchaine attaque. Arrivée en hauteur sur les ruines de Karzgania, je m'assis tranquillement, jouissant du spectacle qui s'offrait à moi. Un autre Maître Destructeur vint à ma rencontre, retirant son heaume et laissant tomber devant ses yeux ses long cheveux noirs. Sans un mot, il s'assit à côté de moi, observant aussi le champ de bataille. Puis, sans détrouner ses yeux il parla;

Tout s'est bien passé. Nous n'avons perdu qu'un quinzaine d'hommes.

Je ne répondis que par un grognement pensif non aggressif, accompagné d'un hochement de tête. Il poursuivit:

Tu crois qu'ils vont revenir même avec toutes leurs pertes ?

Tu les connais aussi bien que moi, ils ne renoncent jamais. Comme nous. Et même s'il ne restait que trois hommes, ils attaqueraient toujours et encore. Regarde les, même si les wywernes se chargent du nettoyage, ils reviendront.

Un sourire démoniaque naquit sur mon visage.

Et tant mieux. J'attends avec impatience qu'ils reviennent que je puisse davantage me défouler.

Reprenant mon sérieux je tournais la tête vers lui et lui conseilla:

Tiens quand même tes hommes prêts tout en les laissant se réposer. Ils ne tarderont pas à attaquer.

Puis je me levais en lui donnant une tape amicale sur l'épaule et partit rejoindre Slorak qui à présent était seul. Je me postais à ses côtés et silencieusement nous observâmes les crétures dévorer les derniers corps tombés au combat.

A mon avis, ils ne vont pas tarder à revenir. Y a-t-il de nouveaux ordres Slorak ? Veux-tu changer quelque chose ou attaquons nous de la même manière ?